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Sur Robert Doisneau A. Le caractere de Doisneau. Robert Doisneau est un photographe connu pour ses reportages sur les humains. Il a continue a prendre des photos de Paris avec son odorat fin. Tout d’abord, on remarque que son histoire represente sa personnalite : Il est embauche comme un photographe industriel aux usines Renault ou il est reste de 1934 au 1939. Mais, les horaires de bureau de 8h jusqu’a 17h, ont fini par user sa patience. Il etait toujours en retard. De plus les pieces de voitures ne l’interessaient pas. Finalement il a ete licencie pour son manque de ponctualite.Il voulait prendre des photos de la vie quotidienne des Parisiens.Alors, il marchera toute sa vie dans Paris pour capturer les histoires de cette vie quotidienne, meme si c’etait la periode de l’Occupation a Paris durant les annees 1940-1944. Je dois insister : Il a pris activement les photos de cette periode pour encourager les Parisiens..... on observe facilement qu’il aime la liberte, la vie Parisienne et Paris. B.Sa maniere de photographier. Jacques Prevert a ecrit pour Doisneau. ≪ C’est toujours a l’imparfait de l’objectif qu’il conjugue le verbe photographier. ≫ S’il peut exister un contexte dans une photo, on peut dire ≪ l’imparfait ≫.C’est a dire qu’une photo peut posseder l’espace de temps, bien qu’une photo ne soit qu’un decoupage du temps comme ≪le passe compose≫. Ses photos ont permis de faire cela. Ensuite Il a pris comme sujets :des personnes a qui il parlait en les photographiant, ensuite, apres les avoir pris en photos, il leur ecrivait une lettre ou leur rendait visite. D’ailleurs, il leurs donnait gratuitement ses photos malgre sa grande notoriete professionnelle. Mais il ne voulait pas prendre et vendre des photos n’ayant pas un contexte, pour seulement donner un choc. Il a reussi a prendre des photos ayant l’espace de temps, grace a sa maniere de deviner une partie de la vie de la personne qu’il photographiait. Et aussi on peut dire une autre interpretation en concernant ≪ l’imparfait≫. Il a dit : ≪ je m’installe et j’attends. Encore faut-il avoir foule le bitume des heures durant. ≫ Et aussi : ≪ je ne fais pas la chasse a courre.je suis a l’affut. Je me fais mon petit decor. ≫ Pour capturer un instant miraculeux, il s’installait toujours a Paris. Plus tard, il s’est proclame ≪ pecheur d’images ≫. Il attendait ses acteurs sur son petit theatre. C’etait son habitude. S’il etait alle a New York, quelques jours apres il serait rentre a Paris en disant ≪ ce n’est pas mon territoire... ≫ il savait ou il devait aller, ce qu’il devait photographier et qui l’attendait. On s’apercevra que c’est un des emplois de l’imparfait de grammaire. C. l’interpretation sur une photo de Robert Doisneau. On goute les photos de Doisneau. Il y a deux sortes de photos. D’abord, la premiere photo est ≪ File d’attente devant un magasin d’alimentation.≫ Bien que l’on imagine que la vie etait dure, cette photo donne plutot l’impression d’etre vivante. Les femmes s’amusent a bavarder, on regarde une femme faisant du tricot. Meme si cette situation n’est pas heureuse, les femmes francaises veulent malgre tout rester coquettes. Elles sont toujours fortes, vaillantes et vivantes. Et dans cette file on peut ressentir une impression de tristesse ,mais en meme temps, on remarquera qu’elle a aussi une petite energie pour vivre.Je pense qu’il voulait nous montrer que meme si tout n’etait pas bien, ces Parisiennes vivaient tout de meme. Par contre, la deuxieme image qui est ≪ Place saint-michel, Paris 1944 ≫ exprime completement des cicatrices de guerre. On ne peut pas voir son expression, mais son dos temoigne de la tristesse et la fugacite de cette epoque-la. Paris a ete libere de l’envahisseur allemand. De ce fait, il est sur que les Francais ont perdu beaucoup de choses pendant cette Occupation, et sans doute, Doisneau aussi. Il s’est battu avec les Francais pour gagner la liberte. Pendant l’occupation a Paris, Robert Capa etant photographe de guerre a choisi un champ de bataille, Doisneau a choisi une rue, un coin et une place de Paris. Puisque quoi qu’il arrive, c’est son habitude. |